Pour la biodiversité de la conscience
Bolmer, chef d’un village Chankas, des Indiens pré-Incas en Amazonie péruvienne, petits producteurs de cacao, me regarde avec des yeux ronds quand je lui explique que nos sociétés “développées” prennent actuellement conscience de la nécessaire prise en compte de notre écosystème pour assurer la survie de notre espèce. Pour lui et toute sa communauté, c’est une évidence, cela fait partie des principes de vies transmis de génération en génération, depuis le plus jeune âge. Nous venons de la Nature et nous nourrissons de ses fruits, détruire la Nature, c’est menacer directement sa propre survie, quoi de plus évident…
Lire la suite dans Libération du 27 janvier 2010