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L’association Flins sans circuit F1 se réjouit une nouvelle fois de voir les terres de la Ferme de la Haye cultivées en bio et de voir s’implanter le premier atelier de transformation de légumes d’Ile-de-France afin de fournir en légumes bio la restauration collective.
Les légumes y sont lavés, épluchés, éboutés et conditionnés sous vide.
L’inauguration avait été reportée du fait de mauvaises conditions climatiques mais cette création de légumerie a déjà relayée par de très nombreux media. Elle a finalement eu lieu le 14 mars 2012 avec deux temps forts :
1) la présentation de la légumerie et
2) une table ronde sur les leviers de développement de l’agriculture bio
Après quelques mots d’accueil de Xavier DUPUIS, agriculteur bio et président de la CUMA Val de Seine (Coopérative d’Utilisation de Matériel Agricole) rassemblant 4 agriculteurs bio et une association “Fermes bio d’Ile-de-France”.
Les différents acteurs qui ont rendu ce projet de légumerie possible ont pris la parole

de gauche à droite :
- Vincent PERROT, de VIVRAO,
- Hélène GASSIN, Vice-Présidente du Conseil Régional Ile-de-France
- Damien BIGNON, Président du Groupement des Agriculteurs Bio d’Ile-de-France,
- Xavier DUPUIS,Président de la CUMA Val de Seine
- Pascale MARGOT-ROUGERIE, directrice de la DRIAAF Ile-de-France
- Marie-Hélène LOPEZ-JOLLIVET, Présidente du groupe d’action locale Leader Seine Aval et maire de Vernouillet
- Olivier BLATRIX, Chef du service prospective de l’Agence de l’Eau Seine Normandie
Après cette rapide présentation devant plus de 200 personnes, une visite commentée de la légumerie a été organisée.
 
Pour en savoir plus sur cette légumerie téléchargez le dossier de presse
L’inauguration a été suivie de la table ronde sur l’agriculture bio en Ile-de-France autour de deux thématiques à savoir la structuration des filières bio et de l’intérêt de l’agriculture bio comme moyen de préserver la ressource en eau comme par exemple dans le cas de la Ferme de la Haye située au dessus d’une nappe phréatique.
 
Ont participé à cette table ronde animée par Jean-Paul JAUD :
- Olivier THOMAS, Président de l’Agence des Espaces Verts (AEV) et de gauche à droite sur la deuxième photo
- Alexandre DUZAN , Ingénieur Hydrogéologue de la Lyonnaise des Eaux
- Pierre MISSIOUX, directeur de la SAFER Ile-de-France
- Jean-Paul JAUD, réalisateur des films Nos enfants nous accuseront et Severn, la voix de nos enfants
- Damien BIGNON, Président du GAB IdF
- Hélène DANEL, Présidente de l’association Flins sans Circuit F1
- Jean-Marc GAILLARD, arboriculteur bio
- Pascale MARGOT-ROUGERIE, directrice de la DRIAAF Ile-de-France
- Hélène GASSIN, Vice-Présidente du Conseil Régional Ile-de-France
- Thierry GUERIN, Vice-Président de la Chambre d’agriculture d’Ile-de-France
- Olivier BLATRIX, Chef du service prospective de l’Agence de l’Eau Seine Normandie
Un débat avec la salle a suivi. Pour conclure Jean-Paul JAUD et Damien BIGNON ont mis toutes ces contributions en perspective.
Pour en savoir davantage sur les leviers du développement de l’agriculture bio en Ile-de-France, téléchargez le dossier de presse
Dans le cadre de la journée de l’Europe
le 9 mai 2012 de 18h30 à 21h
soirée débat à Vernouillet (Yvelines)
Mairie - salle du conseil
9, rue Paul Doumer
L’Europe partenaire de l’agriculture locale
La démarche Leader en Seine Aval
entrée libre et gratuite inscription contact@leaderseineaval.com
pour en savoir plus sur le programme cliquez ici
L’association Flins sans Circuit F1 avait dénoncé, en son temps, le coût exorbitant du projet de circuit de F1 pour les finances publiques.
Heureusement, ce projet a été abandonné ce qui a évité de grever davantage le budget du département. En effet, le circuit de F1 aurait obligatoirement nécessité une injection annuelle de fonds publics très conséquente comme l’avaient démontré de nombreuses études.
On peut néanmoins déplorer l’obstination à porter ce projet qu’il aurait été bon d’abandonner plus rapidement, afin de minimiser le montant des dépenses.
Une première estimation de près de 8 millions d’euros du coût de ce projet avait été réalisée tout en précisant que la liste des dépenses recensées était loin d’être exhaustive.
La Chambre régionale des comptes d’Ile-de-France a évalué le coût du projet de circuit à près de 9 millions d’euros, ce qui n’est guère étonnant.
Un vœu pour cette fin d’année, que nous espérons, ne pas être un vœu pieux : que cette histoire soit riche d’enseignements pour éviter d’autres projets dévastateurs pour l’environnement et les finances publiques.
6 décembre 2011
Pour en savoir plus :
Le rapport de la Chambre régionale des comptes d’Ile-de-France
Coût réel du circuit de F1 de Flins-Les Mureaux : ce que le département a caché aux contribuables yvelinois
Circuit de F1 avorté : une facture à 8,7 M€
Formule 1 aux Mureaux, un crash à 9 millions d’euros
L’association Flins sans Circuit F1 soutient l’opposition au projet d’aéroport Notre Dame des Landes. En effet, ce projet offre de nombreuses similitudes avec le projet de circuit de F1 que nous avons tant combattu.
C’est pourquoi nous engageons tous nos membres et sympathisants à se joindre à la manifestation
du samedi 12 novembre à Paris départ Porte d’Orléans 10h30
pour en savoir plus sur l’opposition au projet et sur le parcours du tracto-vélo
Le projet de nouvel aéroport est contraire aux enjeux mondiaux actuels
Energie/Climat : Augmenter les capacités aéroportuaires et développer le transport aérien est
contraire aux orientations affichées du Grenelle de l’Environnement. Face à la raréfaction des
ressources pétrolières et à la nécessité de diminuer les gaz à effet de serre, la sobriété
énergétique s’impose de plus en plus.
Souveraineté alimentaire : Détruire inutilement 2000 hectares de terres agricoles est un
scandale quand en France 1 département disparaît tous les 7 ans sous le bitume et des
dizaines de millions d’hectares au niveau mondial ! Au contraire, il est urgent de développer
une agriculture de proximité et de qualité.
Justice sociale : Gaspiller 250 M€ d’argent public - offerts à un groupe privé par les
collectivités locales déjà exsangues - est inacceptable quand tant de besoins sociaux
prioritaires sont insatisfaits (écoles, crèches, hôpitaux, transports collectifs…).
Faire miroiter la création d’emplois temporaires liés à la construction des infrastructures
requises ne saurait compenser la destruction de centaines d’emplois agricoles et industriels
pérennes.
Nous voulons des investissements démocratiquement décidés, au profit des populations.
…Et ceux qui le brassent,
Les premiers s’entêtent dans un nucléaire sans avenir, les autres préfèrent les pales d’une éolienne.
Lire la suite sur Agora Vox du 3 août 2011
Pour en savoir plus sur les notions d’énergie primaire, secondaire et finale :
De l’énergie primaire à l’énergie finale
Définitions :
Energie primaire
L’énergie primaire est l’ensemble des produits énergétiques non transformés, exploités directement ou importés. Ce sont principalement le pétrole brut, les schistes bitumineux, le gaz naturel, les combustibles minéraux solides, la biomasse, le rayonnement solaire, l’énergie hydraulique, l’énergie du vent, la géothermie et l’énergie tirée de la fission de l’uranium.
voir également le site de techno-science.net
Energie secondaire
L’énergie secondaire est toute l’énergie obtenue par la transformation d’une énergie primaire
Energie finale
L’énergie finale ou disponible est l’énergie livrée au consommateur pour sa consommation finale (essence à la pompe, électricité au foyer,…).
Saignements du nez, diarrhée, état de faiblesse. Les symptômes manifestés par les enfants inquiètent les médecins : certains les considèrent « inexplicables », d’autres prescrivent des analyses du sang pour vérifier la baisse de globules blancs, due à l’exposition aux radiations.
Les premiers chiffres concernant les probables effets nocifs sur la santé des enfants exposés aux radiations des matériaux dispersés par la centrale de Fukushima ont été publiées. Non pas sur Internet, mais sur l’édition papier du 16 juin du quotidien Tokyo Shimbun, lu par environ 1 million de personnes, surtout dans la région de Tokyo et de Kanto.
Le Tokyo Shimbun révèle que de nombreux enfants de Koriyama, une ville d’environ 350 000 habitants située à 50 Km de la centrale nucléaire de di Fukushima Dai-ichi, souffrent d’un « inexplicable » saignement du nez, d’un état de faiblesse et de diarrhée. Et à l’heure actuelle, les médecins ne sont pas en mesure d’en expliquer la cause. Il écrit que le 12 juin une organisation à but non lucratif appelée “Le pont de Tchernobyl” a ouvert une clinique à Koriyama. Inquiets pour les effets de l’exposition aux radiations, 50 familles y ont amené en consultation leurs enfants qui présentaient des symptômes de diarrhée, saignement du nez et fatigue. Une femme de 39 ans, mère de deux enfants, qui avait quitté Koriyama depuis le 11 mars pour y revenir à la fin du mois, a dit au médecin que depuis début avril sa fille de 6 ans saigne du nez. Le médecin généraliste a diagnostiqué une allergie au pollen. Son garçon, qui vient d’avoir deux ans, a saigné du nez depuis fin avril et pendant tout le mois de mai. Le pédiatre n’a pas été en mesure d’affirmer avec certitude que cela été lié aux effets des radiations, mais a ordonné des analyses du sang pour contrôler le niveau des globules blancs. Les premiers symptômes des maladies provoquées par les effets des radiations sur l’homme sont en effet une diminution des globules blancs, des nausées, des vomissements et des migraines.
La mère a expliqué que presque 10% des écoliers avait quitté l’école de Koriyama. Dans cette ville, c’est à chaque établissement scolaire de décider si laisser ou non les enfants boire le lait de la cantine, produit dans la région. Le lait absorbe en effet une forte concentration de matériaux radioactifs. La mère a dit que dans son école, la décision revenait aux parents, mais qu’elle avait permis à sa fille d’en boire afin qu’elle ne se sente exclue par rapport aux autres enfants. Si généralement les enfants ont tendance à imiter le comportement de leurs camarades, ceci est d’autant plus vrai au Japon, où le sentiment de conformité par rapport au groupe est fortement ancré dans la culture.
Un homme de 40 ans, père d’un bébé de 4 mois était tellement inquiet qu’il ne sortait jamais à l’extérieur avec sa fille, affirmant qu’ils ne savaient pas comment se protéger. Les gens disaient de ne pas faire confiance ni aux médecins qui donnaient des réponses contradictoires ni aux bureaucrates du gouvernement qui après le désastre avaient laissé les habitants de Fukushima sur place pendant plus d’un mois, pour les évacuer seulement une fois que le niveau de radiations avait baissé.
Le Tokyo Shimbun affirme qu’à Koriyama, un détecteur de radioactivité placé à côté d’un petit buisson mesurait 2,33 micro-sieverts par heure. La quantité de radiations diminuait au fur et à mesure que l’on remontait l’appareil. Depuis la mi-mai le niveau moyen des radiations à Koriyama a été de 1,3 micro-sievert, mais en vivant pendant une année entière dans un endroit avec une telle radioactivité, l’exposition cumulative devient bien supérieure et nocive.
De nombreuses familles ont déclaré de ne pas avoir pu quitter la zone polluée par les radiations par manque de moyens financiers. Pourtant le quotidien Japan Today révèle que 150 familles frappées par le désastre de Minami Soma, dans la préfecture de Fukushima, avaient perdu leurs aides sociales, pour avoir touché une compensation de TEPCO, considérée comme un revenu.
TEPCO, la société exploitante de la centrale en avarie de Fukushima Dai-ichi, a annoncé de vouloir couvrir un des bâtiments qui renferment les réacteurs pour arrêter la fuite de gaz, avant de trouver une solution meilleure. Comme, par exemple, une sorte de sarcophage en béton pour enterrer l’installation, comme celui qui a été construit sur les décombres de la centrale de Tchernobyl, détruite en avril 1986.
En dépit des tests fournis par l’agence gouvernementale américaine Food and Drug Administration, qui a assuré que le poisson et les produits alimentaires emportés du Japon sont « sûrs », une étude présentée au congrès annuel de l’Institute of Food Technologists révèle que 3 américains sur 4 ne font pas confiance aux produits alimentaires achetés au Japon. Le seul point positif est que l’accident de Fukushima a sensibilisé le monde entier sur les risques liés à la production d’énergie nucléaire et a orienté des pays entier vers la production d’énergies renouvelables. L’inde, par exemple, vient d’annoncer qu’elle investira massivement dans la production d’énergie solaire. En Australie, un sondage conduit auprès de 14 000 personnes révèle que 86% des interviewés demandent que leur pays dépende exclusivement des énergies renouvelables.
- Traduction Sergio C -
Radiazioni, a 50 km da Fukushima è allarme per la salute dei bambini
Faisant suite à Fukushima et à l’abandon de l’atome par l’Allemagne et l’Italie, 62% de l’opinion internationale est hostile au nucléaire civil selon un sondage Ipsos pourReuters mené dans 24 pays auprès de 18 787 adultes.
Sans surprise les plus hostiles à l’énergie nucléaire se trouvent en Allemagne, en Italie et au Mexique.
La catastrophe de la centrale nucléaire de Fukushima au Japon a eu un très fort impact sur l’opinion internationale avec une progression de 26% d’opposants à l’énergie nucléaire.
Environ sept personnes sur dix (69%) pensent que ce qui est arrivé à Fukushima démontre que toutes les centrales nucléaires, etc. peuvent faire l’objet d’accidents ayant des répercussions dramatiques pour ceux qui vivent à proximité.
Pour en savoir plus :
Ipsos Global @dvisory: Sharp World Wide Drop in Support for Nuclear Energy as 26% of New Opponents Say Fukushima Drove Their Decision
Le nucléaire n’a plus la cote
Après Fukushima, 62% de l’opinion internationale serait défavorable au nucléaire
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